Saint-Jacques-de-Thouars

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Saint-Jacques-de-Thouars
Saint-Jacques-de-Thouars
Saint-Jacques-de-Thouars vue depuis Thouars.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Bressuire
Intercommunalité Communauté de communes du Thouarsais
Maire
Mandat
Sylvain Sintive
2020-2026
Code postal 79100
Code commune 79258
Démographie
Population
municipale
424 hab. (2021 en diminution de 6,4 % par rapport à 2015)
Densité 76 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 58′ 11″ nord, 0° 13′ 13″ ouest
Altitude Min. 47 m
Max. 108 m
Superficie 5,55 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Thouars
(banlieue)
Aire d'attraction Thouars
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Thouars
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Jacques-de-Thouars
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Jacques-de-Thouars
Géolocalisation sur la carte : Deux-Sèvres
Voir sur la carte topographique des Deux-Sèvres
Saint-Jacques-de-Thouars
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Saint-Jacques-de-Thouars

Saint-Jacques-de-Thouars est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Jacques-de-Thouars se situe au nord du département des Deux-Sèvres dans la région Poitou-Charentes. Elle est bordée par le Thouet qui la sépare de Thouars sur l'autre rive.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Thouars (Sainte-Radegonde) Thouars Rose des vents
Thouars (Mauzé-Thouarsais) N
O    Saint-Jacques de Thouars    E
S
Saint-Jean-de-Thouars

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 666 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Thouars à 1 km à vol d'oiseau[4], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 575,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Jacques-de-Thouars est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Thouars, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[11] et 17 181 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Thouars, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,7 %), forêts (13,8 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %), zones urbanisées (6,1 %), prairies (2,8 %), mines, décharges et chantiers (0,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Jacques-de-Thouars est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Thouet et le Pressoir. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1995, 1997, 1999, 2001 et 2010[19],[17]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « Vallée du Thouet », approuvé le , dont le périmètre regroupe 22 communes[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Jacques-de-Thouars.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[22]. 99,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[23].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[17].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage du Puy Terrier, un ouvrage de classe A[Note 4] mis en service en 1982 sur le territoire des communes de Saint-Loup-Lamairé, Louin et Gourgé, sur le cours d’eau le Cébron, affluent du Thouet. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[25].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Jacques-de-Thouars est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[26].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune est désignée, au cours de l'histoire, sous différents noms, tels que Saint-Jacques de Montauban[27] (du lieu de Monte Abboioni), nom dont il reste une trace actuellement, à savoir la « rue du Mont-Albouin » dans le centre du village. Par la suite[Quand ?], la commune adopte son nom actuel.

Histoire[modifier | modifier le code]

Anciennement appelée Saint-Jacques-de-Montauban[27] , Saint-Jacques-de-Thouars héberge à partir de 1038 deux prieurés : celui de Saint-Nicolas et celui de Saint-Jacques dont il ne reste rien. Tous deux dépendaient de l’abbaye Saint-Jouin de Marnes. Saint-Jacques-de-Thouars se trouve également sur la route de Saint-Jacques-de-Compostelle.

Des découvertes ont été faites sur le site de Saint-Jacques-de-Thouars. Une tête d'homme et une tête de cheval sculptées en pierre datant de l'époque romaine ont été trouvées. Elles sont maintenant au musée de Poitiers.

Entre 1871 et 1873, un viaduc est construit par la Compagnie Eiffel de Gustave Eiffel pour satisfaire la demande des chemins de fer de Vendée voulant ouvrir une ligne entre Tours et Les Sables-d'Olonne.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
  mars 2008 Lucien Bourissou    
mars 2008 En cours Sylvain Sintive[28] DVD Directeur de service social
Conseiller départemental du canton de Thouars (depuis 2015)

La commune de Saint-Jacques-de-Thouars fait partie de la communauté de communes du Thouarsais et du syndicat du Pays Thouarsais.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 424 habitants[Note 5], en diminution de 6,4 % par rapport à 2015 (Deux-Sèvres : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
316260295376330339318325329
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
294281278297304415377334334
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
333324303342403376395413410
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
414377388377426462457456466
2017 2021 - - - - - - -
438424-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Le village possède une école regroupant les niveaux de maternelle, primaire et élémentaire jusqu'à l'été 2018, où elle ferme par manque d'effectifs[33].

L'année suivante est annoncée l'ouverture prochaine d'une nouvelle structure, cette fois faisant partie du réseau ITEP (Institut Thérapeutique, Éducatif et Psychologique) du Nord Deux-Sèvres, et ayant pour but de scolariser des élèves en difficulté psychologique[34].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Chaque année depuis 2016 a lieu au mois de décembre un « marché de la coquille Saint-Jacques », organisé par le « comité des fêtes » de la commune. Il réunit des producteurs venus de la baie de Saint-Brieuc et des acheteurs, résidant ou non le village[35].

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts et l'église. On aperçoit au fond le château des ducs de la Trémoïlle à Thouars.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[24].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Jacques-de-Thouars et Thouars », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Thouars-Stna » (commune de Thouars) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Thouars-Stna » (commune de Thouars) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Thouars », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Thouars », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Jacques-de-Thouars », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  20. « PPRI Vallée du Thouet », sur le site de la préfecture des Deux-Sèvres (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  24. Article R214-112 du code de l’environnement
  25. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  27. a et b On trouve notamment ce nom sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789.
  28. Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « L'école de Saint-Jacques-de-Thouars va fermer », sur ici, par France Bleu et France 3, (consulté le ).
  34. Frédéric Michel, « L'école de Saint-Jacques-de-Thouars "devrait rouvrir ses portes en septembre prochain". », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne)
  35. Janlou Chaput-Morin, « Sixième édition pour le marché de la coquille à Saint-Jacques-de-Thouars », La Nouvelle-République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne)